Joller ne croit pas à cette histoire jusqu'à ce que lui même soit témoin et décide de démanager pendant une courte période, de là il y aura une enquête : constation : aucunes manifestations dès lors que la maison est vide.
Citation :
La nuit du 23 Août dans une chambre à coucher du 1er étage, Joller, sa femme et une servante se sentent tous touchés à la tête, comme par une main. Joller et sa femme cherchent à attraper la main et la sentent chaude et petite comme celle d'un enfant.
Le 16 Septembre Joller voit une pomme reinette descendre les escaliers, rouler dans le couloir et dans la cuisine. Après avoir été récupérée et posée sur la table de la cuisine elle part à nouveau dans le couloir. La servante la jette alors par la fenêtre, mais un instant plus tard elle revient comme rejettée sur la table de la cuisine.
Le 6 Octobre 5 personnes déclarent avoir vu une figure par 4 fois. Elle est décrite comme une femme mélancolique avec une tête "cintrée", semblable à celle que Melanie a décrit le 10 Septembre.
C'est ce mois d'Octobre que Joller et sa famille décident finalement de quitter la maison pour Zürich. Durant ce qu'il nomme la "nuit de la révélation", ses cheveux blanchissent entièrement. Le lendemain, il déclare à son entourage médusé : "J'ai tout compris !". En 1863, à Rome, Joller publie Phénomènes mystiques vécus, reprenant ses notes.
Nous avons bien la présence de personnes en âge pubertaire, certes, mais ce qui m'intrigue c'est le fait que la famille ai quitté les lieux et que les phénomènes ne les suivent paslors de leur dernier déménagement (ce qui est étrange car si c'était bien un/une adolescente, le facteur "déclencheur" des poltergeists..le lieu n'aurait qu'une importance secondaire, ce qui ne semble pas être le cas dans l'histoire de Joller)
Outre aussi des apparitions spectrales, ce qui ne corroborent pas la thèse de PSKR. En général, lorsqu'il y a "hantise", les "spectres" semblent suivres un scénario bien précis, qui se répète, en général dans le même lieu et à la même heure, certains spécialistes pensent qu'il s'agit là d'une "image résiduelle du passé", ce qui pourrait être possible si il n'y avait pas intéraction avec les personnes et des objets ne faisant pas partie de "l'histoire du spectre".
Erick fearson (voir son excellent site et ses enquêtes sur : Maison Hantée) est connu pour s'interresser sur ce phénomène depuis de nombreuses années, ce chasseur de fantômes a visité plusieurs lieux réputés pour leurs "hantises" en France et à travers le monde . (NB :En aucuns cas Il cherche à prouver ou à réfuter l'existence de ce type de phénomènes).
Il a aussi visité la non très célèbre Abbaye de Mortemer qui serait hantée par des moines et une dame blanche, plusieurs personnes auraient été témoin des bruits sourds, objets déplacés, même certains auraient aperçus cette fameuse femme vêtue de blanc, qui serait peut être le spectre de Mathilde, petite-fille de Guillaume le Conquérant, épouse de Geoffroy Plantagenet, Duc d’Anjou, on dit qu'elle serait morte de solitude et lorsque son fantôme revêt des gants noir cela serait présage de mort dans l'année.
Andrew green, l'inspecteur de spectres, pensait également que seules les personnes mourrant de façon subite et brutale, de façon innattendue, apparaissaientt sous la forme de fantôme. D'après Andrew green il ne faut pas associer Poltergeists et fantômes : les poltergeists seraient juste une force Psychocinétique provoqué par les personnes elles-même (rejoint la théorie de PSKR).
Un des cas connu de poltergeist (assez virulent, même incendiaire) Français : Celui du curé d'Ars : ou L'abbé Vianney, homme très pieux, et très altruiste mais envahit par d'innombrables activités "poltergeists", sans compter d'autres phénomènes des plus étranges.
PARTIE III
Les esprits "violeurs".
Inccube et succube, présents depuis le moyen âge semblent être des poltergeists avec une particularité supplémentaire et absolument terriffiante : abuser sexuellement de leurs victimes.
Nous connaissons tous l'histoire de Carla Moran (pseudonyme) qui a inspiré le film : "The Entity" : Cette femme du jour au lendemain s'est fait attaquée et abusée physiquement par un "esprit".
L'entité :
entity, The (L'emprise)
Réalisation: Sidney J.Furie
Date de sortie cinéma: 1 janvier 1982
Interprète: Barbara Hershey, Ron Silver.
Une histoire effroyable.
Là aussi les psychothérapeutes qui se sont penchés sur ce type d'agression en sont revenu à la thèse d'un refoulement inconscient lié à un traumatisme sexuel (sévices ou viol occulté, refoulements, ou encore paralysie du sommeil). dans le cas de Carla Moran, le lieu importe peu et ses agressions l'ont poursuivit malgré de nombreux déménagements (mais qui aurait perdues en force au fur et à mesure).
Ceci est une photo prise lors d'une séance avec les R. Kerry Gaynor et Dr. Barry Taff.Ils ont été les premiers à se pencher sur l'affaire de Clara, Dans les faits, relatés par Omni Magazine, le destin - 1996, et également dans les documentaires du film - le "fantôme", Dr. Gaynor explique avec ses propres mots comment cela s'est passé.
Ils ont pris rendez-vous avec Clara dans une librairie pour évaluer son cas, ils se sont rendu dans la maison, malgré les dires de Clara qui affirmait qu'à ce moment précis de leur visite "l'esprit" se tenait derrière elle, ils n'étaient pas convaincus qu'elle subissait et songeaient à la mauvaise plaisanterie "Où as-t-on vu un esprit qui violait ses victimes?". C'était sans doute mettre les histoires d'inccubes et de succubes au rang de fantasmes.
Mais Clara les a rappelés en affirmant qu'elle n'était pas la seule à avoir vu cet esprit et à être témoin de ses agissements brutaux.
C'est ce que recherchaient Gaynor et Taff : "une vérification indépendante" des phénomènes par une tierce personne.
Lors de la deuxième visite à Clara, les docteurs ont été témoins à leurs tours de phénomènes dit de "Poltergeists" :
- Boules de lumières rapide (comme on peut le voir sur la photo) de types "orbs"
-Placards qui s'ouvrent et se ferment seuls
-Lévitations d'objets de la maison au jardin
Extrait de la troisième nuit :
"La troisième nuit nous avons décidé de commencer par un séance dans la chambre à coucher," selon la demande de Gaynor. Les murs de la chambre à coucher, cependant, été couverts de peinture ébréchée et inégale. Certains des collègues de Gaynor avaient commenté que la peinture inégale a créé des images en ses photographies. Ainsi les chercheurs ont couvert les murs entièrement de panneau noir d'affiche, de sorte que personne n'ait pu faire cette réclamation encore. Ils ont également numéroté les cartons noirs avec une orientation magnétique et un nombre.
"alors les lumières sont apparues," . il y en avait 9, 'toutecelle sur la droite, gaynor dit :
"Clignotez trois fois au bord du numéro deux pour dire oui. Clignotez deux fois à bord du numéro cinq pour le non.' Il clignoterait sur le conseil exact au lequel je l'ai demandé. À ce point le niveau de l'excitation a vraiment augmenté, parce qu'il a semblé comme nous communiquions avec quelque chose de intelligent, mais je craignais que quelqu'un truque le phénomène en projetant la lumière sur le mur. Ainsi j'ai dit à lui,
"Si vous êtes vraiment ici, dégagez loin du mur."
Je n'ai pas pensé que quelque chose se produirait. Mais alors la lumière est partie bien loin du mur et a flotté dans le milieu de la salle. Elle a commencé à tourner et a se tordre puis à augmenterde taille dans différentes directions simultanément. J'ai eu neuf photographies de professionnels à chaque angle de cette pièce. Elle était extraordinaire parce qu'elle flottait au milieu de la salle et la lumière était dimensionnelle. Il est très difficile de truquer quelque chose comme cela. Si vous projetez la lumière, vous devez la projeter sur une surface plate. Vous ne pouvez pas projeter la lumière dans l'espace vide à moins que vous ayez un certain genre de système très sophistiqué de laser."
Gaynor dit que ceci n'était pas probablement un canular sophistiqué parce que cette maison avait été deux fois condamnée par la ville, et les investigateurs avaient isolé la chambre à coucher entière. Personne ne pourrait entrer ou sortir pendant la session de photo.
"ce que nous avons vu n'était pas ce qui fini vers le haut dans la photographie," a dit Gaynor. "nous voyions des boules de lumière, mais les arcs d'expositions de photo de la lumière sont bien au-dessus de la tête de la femme".
Taff, le collègue de Gaynor alors et maintenant un parapsychologiste et un auteur connu à Los Angeles, confirme le témoignage ce des phénomènes à la maison de l'entité. Taff a décrit les lumières en tant que trois, boules jaune-verdâtre et à-blanches dimensionnelles de lumière.
"Nous n'avons jamais vu des arcs de lumière. Nous avons vu des boules de lumière, "a dit Taff. "cependant, l'appareil-photo a capturé des arcs.'; L'équipe a capturé une photo spectaculaire de 35mm montrant les arcs renversés de la lumière au-dessus de la tête de la femme. Cette photo a été éditée en magazine populaire de photographie. "la photographie populaire n'a jamais édité en tant que photographie de fantôme
Gaynor a indiqué qu'il ne pouvait pas débarrasser la femme du fantôme .
"je ne suis pas un exorciste," a dit Gaynor. Je documente les phénomènes. Je recherche les phénomènes, et je fais beaucoup de consultation avec ces personnes."
Quel est le pourquoi de ces attaques, personne hormis Clara n'a été victime.
Gaynor dit :"Ces attaques étaient très personnelles. "les attaques ne se produisaient que seulement très tard la nuit.
Pendant une nuit le fils de 16 ans de la femme a entendu sa mère crier. Il a couru dans sa chambre à coucher et a vu sa mère étant jetée autour sur le lit. Quand le fils allait l'atteindre pour l'aider, quelque chose la frappé sur la tête et l'a jeté à travers la chambre. "Il" lui a cassé son bras."
On ne peut pas certifier l'existence des fantômes ou des esprits, ou des "poltergeists", il faudrait pour cela mettre un de ces esprits qui hante les vivants dans une boîte et pouvoir l'expertiser à souhait..Ce qui n'est évidement pas faisable. Même si dans le cas des poltergeists, le phénomène est plus récurrent, plus "présent" et que l'on ai une meilleure chance de l'étudier.
Résumé et écrit par votre servitrice.Là aussi les psychothérapeutes qui se sont penché sur ce type d'agression en sont revenu à la thèse d'un refoulement inconscient lié à un traumatisme sexuel (sévices ou viol occulté, refoulements, ou encore paralysie du sommeil). dans le cas de Carla Moran, le lieu importe peu et ses agressions l'ont poursuivit malgré de nombreux déménagements (mais qui aurait perdu en force au fur et à mesure).
Pour ma part, je n'adhère pas au facteur refoulement ou tension sexuelle (la victime serait son propre bourreau) dans le cas de Clara.
Je ne dirais pas non plus que se sont des fantômes. Cela n'a rien de "spectral".
La question reste posée.